Les apports pour faciliter l’installation
Le financement des officines se diversifie de plus en plus. Différentes modalités soutiennent l’apport personnel.
Entre les apports personnels des acquéreurs et le recours au crédit bancaire traditionnel, s’intercalent d’autres moyens, tels que le « capital-risque », les apports en comptes courants d’associés et en capital de pharmaciens investisseurs, le crédit vendeur, le crédit « booster » des groupements et des répartiteurs. Ils visent à faciliter l’installation, en particulier pour les primo-accédants.
Les projets des jeunes acquéreurs se heurtent fréquemment à un manque d’apport, qui reste souvent insuffisant pour boucler financièrement leur opération d’installation. Mais depuis quelques années, chacun à leur façon, différents acteurs de la pharmacie aident principalement les primo-accédants en les épaulant financièrement et en les coachant.
L’ensemble de ces financements permet d’acquérir une pharmacie au travers d’une nouvelle SEL (société d’exercice libéral) ou d’acquérir une SEL via une SPF-PL (société de participations...
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