Dire stop au tabac
Les substituts nicotiniques
Les premiers résultats d’enquêtes réalisées en rapport avec le contexte sanitaire montrent une tendance à l’augmentation du nombre de cigarettes fumées. Le mois du tabac en novembre tombait donc à point nommé cette année pour dépister les usagers et promouvoir le sevrage tabagique.
Si une baisse notable du nombre de fumeurs a été observée entre 2014 et 2018, les résultats du Baromètre de Santé publique France ne rapportent que peu de différence en 2019 par rapport à 2018. Une légère hausse tout de même des tentatives d’arrêt en 2019 par rapport à 2018. Ainsi, parmi les personnes interrogées, un tiers des 18 à75 ans déclaraient fumer, avec une consommation quotidienne pour un quart d’entre eux.
Une fois la motivation trouvée, qui peut être de se libérer de sa dépendance, de préserver sa santé et celle de son entourage, l’évaluation de la dépendance par un professionnel de santé est primordiale. Médecin, sage-femme, chirurgien-dentiste, infirmier et masseur-kinésithérapeute sont habilités à prescrire, pour éviter le syndrome de manque, des traitements de substitution nicotinique dont le dosage et la forme doivent être adaptés à la fois à la consommation en tabac du patient et à ses préférences. Varénicline (Champix)...
Ce contenu est réservé aux utilisateurs inscrits sur le site pharma365
Déjà abonné ? Connectez-vous