D'origines multiples
D'origines différentes - pour l'une, la maladie de Menière, pour l'autre, un neurinome - les acouphènes font désormais partie de la vie de Chrystèle Le Houedec et Hubert Solivérès. Les snober ou les accepter, à chacun sa méthode pour « faire avec ».
Chrystèle Le Houedec a décidé de voir les choses du côté positif. Sans détour, elle raconte comment elle vit avec des acouphènes 24 heures sur 24. Tout aussi simplement, elle explique comment, plus qu'une solution miracle, elle a trouvé le moyen de mettre en place une certaine qualité de vie, en acceptant la maladie. La maladie de Menière. « Plutôt que ma pire ennemie, j'ai décidé d'en faire ma meilleure amie et au lieu de me focaliser sur ce que je ne peux plus faire, voir au contraire ce sur quoi je me suis un peu calmée, grâce à elle. » Ce processus a pris plus de cinq ans, mêlés de colère, de peur, de dépression. Errance médicale et mille essais de médecines parallèles inclus.
[caption id="attachment_84565" align="alignright" width="164"] Chrystèle Le Houedec[/caption]
Elle...
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