Du nouveau dans le traitement de la maladie de Parkinson
Dans le paysage en constante évolution du traitement de la maladie de Parkinson, les agonistes des récepteurs du glucagon-like peptide-1 (GLP-1) comme le lixisénatide se révèlent être une option prometteuse.
Un aperçu des agonistes du GLP-1.
La maladie de Parkinson, caractérisée par la dégénérescence progressive des neurones dopaminergiques, est habituellement gérée par des traitements dopaminergiques qui suppléent temporairement à la perte de dopamine mais n'abordent pas la neurodégénérescence elle-même. Face à cette limite, les agonistes des récepteurs du glucagon-like peptide-1 (GLP-1), tels que le lixisénatide, se distinguent comme une alternative prometteuse. Conçus originellement pour moduler le métabolisme glucidique dans le diabète de type 2, ces agonistes présentent des propriétés neuroprotectrices potentielles. Ils interviennent par activation des récepteurs du GLP-1 situés dans le cerveau, ce qui pourrait inhiber les voies de l'apoptose neuronale et favoriser des effets neurotrophiques, atténuant ainsi les symptômes moteurs de la maladie. Ces hypothèses sont renforcées par des données précliniques et des essais cliniques...
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