Réactions anaphylactiques tardives sous acétate de glatiramère : une vigilance de chaque instant

Une nouvelle alerte concerne l'acétate de glatiramère, utilisé dans le traitement de la sclérose en plaques : des réactions anaphylactiques graves, voire fatales, peuvent survenir des mois, voire des années après le début du traitement. Découvrez les recommandations clés pour prévenir et gérer ces réactions potentiellement dangereuses.

Par Thomas Kassab, publié le 20 août 2024

Réactions anaphylactiques tardives sous acétate de glatiramère : une vigilance de chaque instant
L'acétate de glatiramère, un traitement largement prescrit dans la prise en charge des formes rémittentes de sclérose en plaques (SEP), fait l'objet d'une mise en garde sérieuse : des réactions anaphylactiques, bien que rares, peuvent survenir de manière tardive, même après plusieurs années de traitement sans incident. Ce phénomène souligne l'importance d'une vigilance constante tant chez les professionnels de santé que chez les patients. Des réactions anaphylactiques à ne pas sous-estimer L'acétate de glatiramère est administré en injection sous-cutanée, soit quotidiennement pour la formulation à 20 mg/ml, soit trois fois par semaine pour celle à 40 mg/ml. Bien que ce médicament soit généralement bien toléré, des réactions post-injection immédiates sont courantes. Cependant, les récentes données européennes ont révélé un risque de réactions anaphylactiques graves, parfois fatales, qui peuvent se manifester bien après...

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